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Date de création : 13.03.2012
Dernière mise à jour : 06.10.2012
530 articles


Ma tendresse,2

Publié le 25/05/2012 à 12:39 par nouramissaoui Tags : merci vie moi amour chez fille nuit travail rose enfant ange prénom anges anniversaire animal tendresse dessin

Ma tendresse, Merci pour ce joli rayon de soleil que tu nous as envoyé et qui nous a réchauffé le cœur. On a pu en profiter avec Marion pour faire un petit tour en ville. J’ai habillé Marion comme une petite fille modèle, elle ressemblait à un vrai petit ange. C’était toi qui avais choisi ce joli ensemble rose vichy, avec le petit chapeau qui lui donne cet air de titi parisien. Après notre balade, je lui ai préparé son petit bain, à la température que mademoiselle l’affectionne, et nous avons joué avec l’eau un bon quart d’heure. Ensuite, tenue de combat pour la nuit ! Et je lui ai préparé son biberon du soir. Je lui ai mis un joli petit bavoir que je lui ai fait en point de croix, comme celui que je t’avais fait. Je me souviens, à chaque fois que tu te maquillais, tu mettais un mouchoir sur toi pour éviter d’en mettre partout. Oui, je peux le dire, la poudre de riz débordait ! Je t’avais dit que pour ton anniversaire, je t’offrirais un bavoir, mais je ne sais pas ce qu’il m’a pris à ce moment-là, j’ai décidé de t’en faire un, à partir d’un bavoir pour enfant, à faire en points de croix… C’était bien beau de vouloir faire les choses, mais que mettre dessus ? Ecrire ton prénom, c’était simple, mais de quelle manière ? Ajouter des symboles de maquillage, je pouvais faire aisément, mais comment le particulariser ? Et j’ai eu le déclic, notre animal fétiche, le Panda. Il était devenu notre animal fétiche sur un quiproquo, entre le dessin d’un koala et d’un panda, et c’était ce qui nous avait rapprochés et que notre lien prenne naissance. J’ai donc pris mon courage à deux mains pour essayer de trouver des exemples de panda en points de croix, mais aucun ne me satisfaisait ou pouvait entrer dans les dimensions du bavoir. Alors, avec un Excel, je t’ai confectionné tous les points du bavoir, toutes les couleurs, les formes, et le plan fait, je me suis attelé à la tâche. Finalement, ce n’était pas si compliqué, en dix heures de temps, je fus satisfait du résultat. Et lorsque tu rouvris les yeux après que je te l’eus passé autour du cou, tu hésitas entre rire et fondre devant tant de délicatesse. Mais j’ai préféré ton choix, celui de m’embrasser langoureusement, ce qui provoqua notre retard de deux heures chez tes parents… Pourquoi avoir gâté sa maman et pas notre puce, alors j’ai réitéré un bavoir en points de croix pour Marion, cela me permettait de m’évader, de me vider la tête, de penser à celui que je t’avais fait, … Je lui ai mis dessus un petit ourson tout trognon avec son oreille cassé, un joli biberon, et surtout son doux prénom, celui de Marion aux couleurs du panda, lettres blanches tachetées de noir. Si le tien est resté propre, Marion prend à chaque fois un malin plaisir à le baptiser, elle doit être allergique à la créativité de son papa ! C’est vrai que j’y suis aussi un peu pour quelque chose, les premières fois où je lui ai donné le biberon, je n’étais pas un champion olympique, ou alors de la vitesse ! Je levais trop le biberon, et la pauvre avait le droit de se laver au lait en même temps qu’elle tétait ! Je te passe les détails des omissions de serrage des tétines, ou de la saturation de mademoiselle qui se comporte comme un évier plein en retournant immédiatement ce que je lui donnais à boire ! Son bavoir en a connu des baptêmes, des lavages, mais il tient toujours le coup ! Je ne dois pas être si mauvais que cela pour coudre. Contrairement à cette jolie écharpe que tu m’avais tricoté, et qu’au premier lavage, la machine à laver te rendit en pelote… Et oui, que veux-tu, on ne s’improvise pas couturière quand on ne l’est pas. C’est vrai que la tête que tu as faîte quand tu as ouvert le tambour et que tu as vu le résultat de tant d’heures de travail anéanti en une heure, j’ai cru que tu allais prendre sur tes épaules frêles la machine à laver et que tu allais la jeter par la fenêtre ! On en a bien ri ensuite, et ce fut la dernière fois que tu me confectionnas quelque chose, selon tes dires… Jusqu’à ce que tu recommenças ! Après lui avoir fait faire son rototo, on a regardé un petit dessin animé de Walt Disney, les vieux Mickey qu’elle aime regarder et que je connais par cœur, mais elle rit à chaque bêtise, alors, je ne peux me résoudre à lui refuser ce plaisir partagé. Et sentant ces paupières s’alourdir et son pouce irrésistiblement attiré par sa bouche, je l’ai emmené dans son petit lit douillet, en lui déposant un tendre poutou sur le front. Et Morphée la pris sous son bras. Je la regarde s’endormir, elle te ressemble de plus en plus, tu ne pourrais la renier, elle ne doit avoir de moi que le caractère ! Que j’aurais aimé que tu la serres contre toi, que tu lui donnes le sein, que tu la câlines, et que mes deux anges soient tout le temps réunis. La roue du destin s’est arrêtée une case trop loin, et je maudis cette roue d’avoir anéanti les rêves de puretés de deux êtres qui s’aimaient d’un amour infini. Caroline, je ne sais te dire les mots, mais de là-haut, tu les lis au plus profond de mon cœur et de mon âme, acquis à toi pour la vie. Je t’aime, tout simplement…