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je voudrais leur demander de supprimer cette image. je suis le photographe et avoir la photo de droite. mercih
Par Laura Steiner, le 30.01.2013
je passe te souhaitée un bon lundi sur ton joli blog bisous de laurahttp://si mplements.cent erblog.net
Par simplements, le 24.09.2012
perfect
Par MARWA, le 26.08.2012
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Par MARWA, le 26.08.2012
comment traiter avec amour sens violence
publ ié le 26/08/2012 à 00:42 par annacatharina
comment traiter av
Par marwa, le 26.08.2012
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Date de création : 13.03.2012
Dernière mise à jour :
06.10.2012
530 articles
Ma raison de vivre, La déchirure fait de plus en plus mal, même si je ne le fais apparaître dans mes lettres. Le feu que tu avais allumé au fond de moi brûle toujours de la même intensité, mais ma chair est meurtrie et chaque flamme attise la douleur. Jamais je n'avais ressenti telle souffrance de toute ma vie, j'avais éprouvé du mal-être suite à des ruptures ou autres trahisons, mais comme là, pas depuis que tu m'as quitté… Tu m'avais parlé de la blessure de ton passé, et je peux comprendre aujourd'hui, alors que je suis tiraillé entre la colère et la douleur. Oui, tu avais été meurtrie au plus profond de toi-même, tu avais une blessure indélébile, dont tu ne me parlas pas au début. Nous discutions de choses et d’autres, nous délirions et nous prenions plaisir à tout oublier ensemble, mais je sentais que tu étais sur la défensive, que tu te retenais, que tu ne voulais t'ouvrir complètement, de peur de quelque chose, mais je ne savais quoi. A force de complicité virtuelle, tu as commencé à prendre confiance en moi, je ne cachais rien de ce que j'étais, de ce que j'avais vécu, à quoi bon mentir si je voulais partager quelque chose avec toi, car te mentir à ce moment-là signifiait te mentir dans le futur, et ce n'était pas moi, je n'aurais pu me regarder dans la glace. Et vint le jour où tu m'ouvris le voile de ton passé. Tu étais avec Fabrice depuis seize mois, tu étais sur ton petit nuage, tu envisageais d'emménager avec lui, et de fonder un foyer, vous en aviez parlé et cela vous semblait être l'accomplissement de votre histoire. Bien sûr, il y a avait des heurts parfois, mais cela fait parti de la vie de couple, cela permet de renforcer la cohésion et de rompre la routine où tout est beau, tout est parfait. Mais voilà, le destin avait décidé que cela n'arriverait pas, et ceci, l'un des jours les plus importants pour les amoureux… 14 Février, jour de la Saint-Valentin, la fête des amoureux, en principe…Tu avais quitté ton travail plus tôt pour lui faire une surprise. Tu avais fait une réservation pour partir avec lui en week-end à Venise, pour deux jours romantiques à vibrer les yeux dans les yeux. Tu étais passé chez toi, tu tétais faite encore plus belle que tu n'étais, tu as filé chez lui le sourire aux lèvres, heureuse de souhaiter ta Saint-Valentin avec Fabrice. Tu arrivas en bas de chez lui, survoltée comme une lycéenne, tu grimpas les marches quatre à quatre, tu repris ton souffle devant sa porte, et tu l'ouvris avec la clef qu'il t'avait confiée. En entrant, nul bruit, enfin si, un bruit sourd au début, s'amplifiant au fur et à mesure que tu te rapprochais de sa chambre à coucher. Et lorsque tu entrouvris la porte, ce fut l'horreur… Tu ne t'attendais pas au spectacle que tu découvris, tu retrouvas Fabrice dans son lit, mais il n'était pas seul, et sa tenue dénudée ne laissait pas de doute. Ton cœur allait sortir de ta cage thoracique. Mais le pire était à venir. Car dans leurs mouvements saccadés, tu aperçus sous lui ta meilleure amie… Et ce fut pour toi la surprise, le couteau en plein cœur. Tu étais comme pétrifiée, ton corps tressaillait et tu ne savais comment réagir, entre la colère et le dégoût. Tu décidas de ne pas les déranger, tu refermas la porte et tu repartis de chez lui. Tu t'assis sur le perron et la tête dans les genoux, tu laissas éclater ton désespoir. Les gens te toisaient dans la rue mais tu ne les voyais pas, tu ignorais tout le monde, le soleil pouvait même exploser, plus rien ne pouvait te toucher. Au bout d'une demi-heure, tu te relevas et alors que la nuit avait drapé Paris de son voile obscur, tu entamas une longue errance dans les rues. Les yeux voilés par les larmes, le rimmel te donnant l'aspect gothique, tu vadrouillas sans savoir où aller. Tu haïssais tous ces couples que tu croisais tendrement enlacés, face à face autour d'un dîner aux chandelles. Et tous les hommes qui s'inquiétaient de te voir ainsi était rembarré de manière agressive, tu ne supportais plus une présence masculine, rien que le fait d'en voir un te donnait la nausée. Tu en voulais à la vie de t'avoir jouer ce tour, tu ne comprenais pas pourquoi les hommes pouvaient être si cruel, pourquoi leurs sentiments ne se bornaient qu'à leur libido, pourquoi il fallait qu'ils affirment leur virilité à chaque minette en chaleur, pourquoi les hommes ne comprennent pas que les femmes ont un cœur, pourquoi les hommes ne pensent qu'à détruire ce qu'il y a de bien et se délectent de ce qu'il y a de mal,… Toutes ces questions que tu te repassais en tête, et qui te détruisait encore plus. Tu ne te souvins plus par quel miracle tu te réveillas le lendemain matin, mais tu avais une certitude, c'en était fini des hommes, Fabrice avait eu beau laissé des messages d'amour brûlant comme si de rien ne s'était passé, jamais il ne saurait ce que tu étais devenue, ni celle qui t'avait trahie, elle pouvait même mourir, elle n'était plus rien pour toi… Et tu gardas cette rancœur, cette blessure au fond de toi, cachée aux yeux de tous, n'accordant plus ta confiance, qu'aux seuls enfants dont tu t'occupais, jusqu'à ce jour où tu te découvris à moi… A jamais, tu feras partie de moi, à jamais, je t'appartiens, et jamais je ne te trahirais, la pureté de notre amour était ce qui nous avait uni, et qui nous unira à jamais… Je t'aime Caroline, je t'aime comme personne n'a jamais aimé, quelque soit le coin de l'univers, et ce pour le restant de mes jours sur cette Terre, mais lorsque je te rejoindrais…