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je voudrais leur demander de supprimer cette image. je suis le photographe et avoir la photo de droite. mercih
Par Laura Steiner, le 30.01.2013
je passe te souhaitée un bon lundi sur ton joli blog bisous de laurahttp://si mplements.cent erblog.net
Par simplements, le 24.09.2012
perfect
Par MARWA, le 26.08.2012
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Par MARWA, le 26.08.2012
comment traiter avec amour sens violence
publ ié le 26/08/2012 à 00:42 par annacatharina
comment traiter av
Par marwa, le 26.08.2012
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Date de création : 13.03.2012
Dernière mise à jour :
06.10.2012
530 articles
La perle de ma vie, Marion est ma petite reine, mais tu me manques tant. Elle m’apporte ton sourire, mais pas ta présence, elle m’offre ses bêtises, mais pas ta joie de vivre, elle me procure sa tendresse, mais pas ton amour. Je sais que, quoi que j’essaie de faire, tu ne reviendras jamais, je ne peux revenir en arrière, je ne peux infléchir la courbe du temps, je ne peux… J’ai l’impression d’être faible, de ne plus être moi-même, et même si j’essaie, ce n’est que pâle copie de ce que j’étais, de ce que tu m’apportais, de l’inspiration que tu me procurais. Tu vois, je te joins un écrit sur toi que j’ai essayé, mais je le trouve sans saveur, sans vie, sans plaisir, sans magie, sans rien… A toi d’en juger, ma chérie, toi seule le lira et pourra me faire signe pour me dire ce que tu en penses. Si le temps se gâte, je saurais… Voilà, ma mie, mais sois indulgente, s’il te plait… Lorsque je plongeais mes yeux dans les tiens, c’était pour m’y noyer à jamais tant je m’y sentais si bien. Lorsque ma main se promenait dans tes cheveux, c’était pour y ressentir toute la souplesse de leur soyeux. Lorsque mes lèvres effleuraient la candeur de tes lèvres, c’était pour en admirer tout le travail d’orfèvre. Lorsque mes mains parcouraient ton dos, c’était pour en découvrir toute la géo. Lorsque mes doigts dessinaient tes cuisses, c’était pour en apprécier toute leur esquisse. Lorsque ma langue explorait ton intimité, c’était pour en savourer toutes les irrégularités. Lorsque mon corps se collait à ton corps, c’était pour en extraire tous les trésors. Lorsque mes pieds réchauffaient tes pieds, c’était pour caresser le souhait de t’émoustiller. Lorsque j’embrassais délicatement tes joues, c’était pour en ressortir leur éclat de bijoux. Lorsque je câlinais tes jolies fesses, c’était pour en apprécier toute la douceur d’une déesse. Lorsque j’admirais la beauté de tes seins, c’était pour les lover toute la vie entre mes mains. Lorsque j’explorais les nuances de tes épaules, c’était pour t’imaginer être ma planète et explorer tes pôles. Lorsque mes joues frôlaient ton menton, c’était un tsunami de douceur qui m’enveloppait dans son édredon. Lorsque je découvrais ton tout petit nombril, c’était pour l’illuminer comme la fleur son pistil. Lorsque je déposais des bisous sur le bout de tes doigts, c’était pour en jouer de la musique digne d’un roi. Lorsque je frottais mon nez contre ton nez, c’était pour ressentir la tendresse du nouveau-né. Lorsque ma langue dégustait ton petit ventre, c’était pour te permettre de ressentir les choses en ton antre. Lorsque ma bouche découvrait la courbe de tes chevilles, c’était pour en respirer tout ton parfum de fille. Lorsque tu m’enveloppais de la sveltesse de tes bras, c’était pour retomber en enfance et renaître ici bas… Lorsque je caressais ton vagin, c’était pour allumer un feu qui brûlerait jusqu’au lendemain matin. Lorsque ma langue jouait avec les lobes de tes oreilles, c’était pour les butiner à la méthode des abeilles. Lorsque je déposais un souffle sur ton cou, c’était pour déclencher en toi des gémissements de loup. Lorsque je me blottissais contre toi pour écouter ton cœur, c’était le mien qui gémissait dans un unisson de bonheur. Et lorsque je te retrouverais au-delà de la vie, ce sera pour te dire que je t’aime jusqu’au bout de nos vies… Je sais qu’il n’y a pas toute la saveur de ta présence, je suis comme un artiste ayant perdu sa muse, je suis comme un peintre ayant perdu son modèle, je suis comme un écrivain ayant perdu l’inspiration, je suis seul… si loin de toi et de ton amour. J’aimerais tant pouvoir te dire ces mots plutôt que de te les écrire, j’aimerais tant te faire vibrer au rythme de ma voix en te les citant plutôt que la platitude des phrases déposées sur la virginité d’une page, et surtout lire les mouvements de ton visage sous la magie de mes pensées. Et même si ce que je t’envoie n’a pas la force de ce que je voudrais, cela vient du plus profond de mon cœur, noyé sous l’émotion de mon amour disparu. Et quand je regarde mon alliance, celle de notre union posthume mais qui me fait être tien, je me dis que comme cet anneau, notre amour sera sans fin, un éternel recommencement de sentiments, aussi pur que l’or qui le compose. Je suis uni à toi pour la vie et pour la mort, nous avons connu le bon avant le pire, mais le meilleur reste encore à venir, je t’en fais le serment, ma douce Caroline. Je t’aime à la folie, mon cœur, à la folie…